Ronronthérapie
- Par Françoise PARINAUD
- Le 08/02/2017
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Elle s'appelle Lys. Cette jeune chatte Ragdoll (une race américaine dont le nom signifie "poupée de chiffon") est ma compagne depuis quelques mois pour mon plus grand bonheur. Et peut-être aussi pour mon bien-être...
J'apprends en effet à la lecture d'un N° de Geo consacré aux chats que le ronronnement de ces derniers a des bienfaits thérapeutiques à commencer sur eux-mêmes.Il aurait un effet apaisant, voire analgésique, ce qui expliquerait qu'un chat souffrant se mette à ronronner. Ce phénomène, étudié de façon très scientifique, serait dû à la longueur et à la nature très particulière des ondes émises lors du ronronnement. Si le chat en est le premier bénéficiaire, son voisin humain en retire aussi des avantages: le ronron est un excellent anti-stress. Il est vrai que le seul fait de caresser cette boule de poil apporte un indéniable apaisement.
Quant à Lys, elle accourt dès que je me nourris et s'installe à côté de mon plateau, le nez au-dessus du bol de ma nourriture. Dés que j'ai fini de la passer à la seringue, elle se précipite pour lécher le fond du bol. Elle raffole de ce liquide au goût prâliné. Elle, au moins, apprécie...
Commentaires (2)

- 1. | 20/02/2017

- 2. | 16/02/2017
Superbe chatte !!! Moi même gastrostomisé, je me nourris comme Françoise par voie entérale, utilise aussi seringue et bol, mais j'ai pour compagnon un petit chien, nommé Oscar, qui se délecte lui aussi quand il achève le fonds du bol !!! Sacrés compagnons !